Certes, on pourra toujours dire que la conclusion de cette enquête est sujette à caution puisque diligentée par une Ligue de Défense des Conducteurs juge et parti. Mais on pourra tout aussi bien dire que l'Etat dans son action desécurité routière a un intérêt financier à la sanction, ce qui n'est pas plus une garantie d'objectivité. Reste le fait : sur les cent radars portés aux nues en raison de leurs résultats, plus de la moitié sont placés à des endroits où la vitesse autorisée a été diminuée.
Lire la suite ici.