Un article du Figaro revient sur la volonté de la maire de Paris, portée par le succès des JO, d’abaisser la vitesse sur le périphérique à 50 km/h dès le 1er octobre. Une décision fortement contestée. Pour Maître Rémy Josseaume, spécialiste en droit de l’automobile, la répartition des pouvoirs est complexe : bien que Paris ait obtenu la gestion du périphérique grâce à une loi de 2017, la mise en œuvre du 50 km/h ne pourra intervenir qu’après publication d’un décret d’application du ministère des Transports. En réaction, plusieurs associations, dont la Ligue de Défense des Conducteurs, envisagent de contester cette mesure devant la justice. Pour lire l'article complet, cliquez ici.