Challenges révèle que la baisse de la limitation de vitesse à 50 km/h sur le périphérique parisien est annoncée pour le 1er octobre par Anne Hidalgo. Toutefois, la maire de Paris semble oublier que cette décision n’est pas uniquement de son ressort. Si la mise en place des voies de covoiturage s'apparente à un bras de fer avec le préfet de police, la question de la vitesse sur le périphérique est bien plus complexe. Cette fois, la décision doit être validée au plus haut niveau de l’État. Comme l’explique Rémy Josseaume, avocat spécialiste du droit routier et partenaire de la Ligue de Défense des Conducteurs, le gouvernement doit également donner son accord. Pour lire l’article complet, cliquez ici.