"Le 11 février dernier, la justice a contraint une commune à détruire l'un de ses ralentisseurs, jugé illégal, comme des centaines de milliers d'autres installés en France", explique le site actu.fr. Une enquête pour laquelle la Ligue de Défense des Conducteurs a été sollicitée, dans le cadre de notre partenariat avec l'association Pour un mobilité sereine et durable qui se bat contre les dos-d'âne illégaux et l'Automobile-club des Avocats.
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